Il n'y a aucun lien prouvé entre l'âge auquel on fait ses premiers pas et l'intelligence ou les aptitudes motrices.
Pour analyser les prédispositions génétiques à certaines maladies, il faut comparer des milliers de génomes humains entre eux. Ces quantités de données demandent des efforts de calcul énormes qui coûtent très cher. Une équipe de lʹInstitut suisse de bio-informatique et de lʹUniversité de Lausanne vient de développer un logiciel pour faire ces analyses à moindre coût.
Les vaccinations sont plébiscitées en Suisse mais elles pourraient inciter la population à être moins prudente.
Quarante-cinq laboratoires sʹallient pour partager leurs données concernant lʹoptogénétique. Ce domaine de recherche utilise la lumière pour activer ou désactiver des neurones dans le cerveau. En partageant les résultats positifs et négatifs, les chercheurs souhaitent développer cette méthode encore expérimentale.
Selon une étude parue dans la revue "Nature Food", un bébé avale chaque jour, en moyenne, plus d'un million de microparticules de plastique qui se détachent de son biberon
Une start-up américaine propose à la vente un appareil électronique à porter sur le front qui modulerait l'humeur. Il agirait sur le cerveau et il procurerait une sensation de relaxation. L'appareil pourrait aussi donner de l'énergie à celui qui le porte.
A New York, des chercheurs veulent tester sur l'Homme une substance qui aurait la propriété d'augmenter la durée de vie. Ils ont soumis une demande d'autorisation à la FDA. Pour l'obtenir, ils doivent convaincre l'autorité de régulation américaine du médicament que le vieillissement est une maladie.
Les kangourous seraient gauchers, selon une étude publiée dans la revue Current Biology. Des chercheurs de l’Université de Saint-Pétersbourg ont démontré que certaines espèces de marsupiaux ont une préférence pour un côté, une caractéristique qu'ils partagent avec les humains.
Patrick Michel, médecin-chef du Centre cérébrovasculaire du Centre hospitalier universitaire vaudois est spécialiste des accidents vasculaires cérébraux (AVC), une affection qui frappe une personne toutes les trente minutes en Suisse, avec le plus souvent des séquelles importantes.
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
Après la validation du vaccin de Moderna par Swissmedic, Blaise Genton, médecin-chef à Unisanté et responsable médical de la campagne de vaccination dans le canton de Vaud, se réjoui, de cette nouvelle étape franchie.
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