Séolane Bouchoucha est psychologues au service psychosociale de la police genevoise et chercheuse à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'UNIGE. En collaboration avec l'UNIGE, elle a créé un outil de réalité virtuelle qui permet aux policiers de se former.
Les compétences émotionnelles des enfants intéressent toujours plus les psychologues et les sciences de lʹéducation. On se rend compte qu'elles devraient être davantage prises en compte dans l'éducation et notamment pour fonder d'autres types de compétences.
Climat de peur, entraînement jusquʹà lʹépuisement, insultes, mobbing, anorexie et boulimie…les témoignages de certaines anciennes gymnastes rythmiques du centre national de Macolin ont révélé au grand jour un système où les athlètes étaient totalement sous lʹemprise de leurs entraîneurs. Depuis, la fédération suisse de gymnastique a mené une enquête et revu complètement lʹencadrement à Macolin. Dans quel contexte des gymnastes en sont arrivées à mettre leur santé physique et mentale en danger? Qui des familles, des médecins, des collègues dʹentraînement aurait dû tirer la sonnette dʹalarme?
Les enfants aveugles ne se représentent pas le monde comme les voyant-es. Une équipe de recherche de l’UNIGE et de l’Université Lumière Lyon 2 a mis au point des albums tactiles adaptés spécifiquement à leurs besoins.
Comment gérer les sentiments de la population ? Que peuvent faire les autorités pour s'assurer que leurs mesures soient acceptées, mais aussi pour en minimiser les impacts sociaux et psychologiques.
Peur, tristesse, anxiété, frustration, colère ou encore optimisme, le Covid-19 nous fait toutes et tous passer par un ascenseur émotionnel depuis bientôt un an. Alors que les émotions sont souvent bannies ou taboues dans le monde professionnel, la crise sanitaire du Coronavirus les a pourtant brutalement remis au centre du débat entre fatigue psychologique du télétravail ou manque de lien social.
Pourquoi pleure-t-on, et pourquoi sʹempêche-t-on si souvent de pleurer? Dans une société obnubilée par le culte de la performance, quelle est la place des larmes, de la fragilité et de la vulnérabilité? Débordés, stressés et épuisés, nous traçons à vive allure en nous interdisant souvent de craquer, de pleurer et donc de souffler. Pourtant, les larmes libèrent, allègent et nous font du bien. Pleurer nettoie le corps de ses tensions. Un effet purificateur et libérateur. Et si la clé du bonheur se trouvait dans lʹacceptation de notre vulnérabilité?
Débat entre Philip Jaffé, psychologue, membre du comité des droits de l'enfant des Nations unies, Coralie Devaud, avocate, et Magaly Kuenzi, auteure du livre "Accepter l'inacceptable".
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