Médecine tropicales et des voyages
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
Débat entre Valérie D’Acremont, médecin et infectiologue, directrice de l'institut Unisanté et Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globale à l’Université de Genève.
L’inversion des températures en présence de brouillard ou les poussières sahariennes favorisent la présence de particules fines dans l’air. Leur haute concentration peut aggraver les conséquences de la maladie COVID-19.
Pour Valérie D'Acremont, infectiologue à UniSanté et professeure à l'Université de Lausanne, ce seul indicateur n'est pas à la base des décisions des autorités. "Le Conseil fédéral avait bien indiqué que d'autres indicateurs étaient pris en compte, notamment le taux d'occupation des hôpitaux".
Des chercheurs nord-américains ont évalué l'impact du vaccin sur la propagation du coronavirus. Selon leur modélisation, le taux d'infection pourrait être réduit de 75% si deux adultes sur cinq étaient vaccinés. Les hospitalisations et les décès diminueraient de 85%.
Des tests de masse se sont déroulés ce week-end dans le canton des Grisons. Les tests ont révélé environ 1% de cas positifs. "Ce petit chiffre, c'est un peu chercher une aiguille dans une botte de foin. C'est à peu près une personne sur 100, alors qu'on arrive à une personne sur sept avec le système habituel des gens symptomatiques. C'est une énorme énergie pour attraper très peu de gens, dont la plupart ne sont pas forcément infectieux car ils ont des toutes petites charges virales".
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