- Analyse de produits stupéfiants
- Etude des marchés illicites
Une étude de l’Université de Lausanne a récemment identifié la présence de cannabinoïdes de synthèse sur le marché noir romand. Potentiellement mortelle, la molécule inquiète les milieux de la prévention.
Le confinement et la fermeture des frontières n'ont pas stoppé l'approvisionnement en drogues de la Suisse. Cannabis, cocaïne, héroïne... tant dans la rue que sur le dark web, les stupéfiants restent largement accessibles.
L’étude de nos eaux usées suggèrent que 5 villes suisses figurent parmi les 10 plus grosses consommatrices de cocaïne en Europe. La hausse en un an est même vertigineuse : + 60% à Genève. Qui sont ces consommateurs, comment réagir ?
70% des billets de banque en circulation en Suisse portent des traces de cocaïne. Les criminologues sont en effet à même de détecter toute une série de stupéfiants sur les billets de banque.
Ces premiers résultats concernent l’héroïne et sont plutôt encourageant pour les milieux de la prévention.
Les eaux usées sont une source fiable d'indication de la consommation de drogues d'une population. Une étude a plongé dans les eaux souterraines de Lausanne, Genève, Neuchâtel, Sion, Berne, Bâle, St Gall, Zurich, Lucerne, Winterthour, Lugano et Coire. Son but: dresser une cartographie des types et quantités de stupéfiants consommés en Suisse.
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !