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Dans les années 70, les milieux alternatifs exprimaient des revendications dʹautonomie, dʹespace de création, face au milieu bourgeois. Aujourdʹhui, la création alternative est souvent intégrée dans un programme culturel dʹune ville. Elle est dʹailleurs même une source dʹattraction touristique. Comment cette transformation sʹest faite? La marge est-elle forcément appelée à rentrer dans le rang?
Le 23 juillet 2007, la corne rouge du Rhino tombait à Genève. L'évacuation de ce squat, ainsi que d'autres à la même période, a marqué la fin d'un mouvement qui avait fait de Genève une des capitales européennes des squats. Un mouvement dont l'héritage se fait encore sentir.
Débat entre Luca Pattaroni, chercheur au Laboratoire de Sociologie Urbaine de l’EPFL, Adrien Genecand, député (PLR/GE) et Alfonso Gomez, conseiller municipal Verts en ville de Genève.
Près de 100’000 personnes à la manifestation nationale pour le climat à Berne.
"Artamis", "La Cave 12", "Les Ateliers Mécaniques", "Le Toit du monde", "Les Temps Modernes"… Les lieux de culture alternatifs ont foisonné dans les années 80 et 90, au moment du mouvement squat et de la scène musicale alternative punk-rock. Aujourdʹhui, la plupart de ces espaces de contre-culture, nichés dans de vieilles usines ou des hangars désaffectés, ont disparu. Que reste-t-il de la scène alternative?
A Genève, les occupants d'un bâtiment en friche depuis des années dénommé Poteous et qui est une ancienne station d'épuration ont remporté une victoire d'étape pour pouvoir transformer la construction en lieu culturel.
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