Une étude de l'Université de Genève tord le cou à un cliché: les applications de rencontres ne détruisent pas l'amour. Les couples formés grâce au numérique ont des intentions d'engagement tout aussi fortes que les autres.
En Suisse romande vivent au moins deux personnes qui connaissent le mieux la mécanique intime de Tinder. Jessica Pidoux est une doctorante à lʹEPFL qui étudie lʹalgorithme de lʹapplication et a notamment révélé son biais sexiste.
Jessica Pidoux, doctorante en humanité digitale à l'École polytechnique fédérale de Lausanne, a analysé les brevets de l'application de rencontres "Tinder". Il en ressort notamment un algorithme patriarcal et genré, qui favorise les rencontres entre hommes âgés fortunés et jeunes filles moins éduquées. Les utilisateurs sont par ailleurs fichés avec un score de désirabilité qui influence les rencontres mises en avant.
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