Les désinfectants sont partout. On les étale sur nos mains, on les répand sur les sols ou les poignées de porte. Et bien souvent, ils finissent dans les eaux usées. Avec quelles conséquences pour l’environnement? Et pour notre santé?
Nous sommes nombreux à avoir changé notre manière de consommer pendant la période de confinement. Ces nouvelles habitudes et bonnes résolutions vont-elles perdurer?
Le confinement et la fermeture des frontières n'ont pas stoppé l'approvisionnement en drogues de la Suisse. Cannabis, cocaïne, héroïne... tant dans la rue que sur le dark web, les stupéfiants restent largement accessibles.
Après la crise, on devrait revenir à une croissance forte basée sur l'exploitation des ressources naturelles. C'est du moins la crainte de Sophie Swaton, philosophe et économiste à l’Institut des géosciences et de l’environnement de l’UNIL, qui propose un revenu de transition écologique pour accélérer la transformation de l’économie en faveur de l’environnement.
Depuis le début de la pandémie et du confinement, on constate une baisse de la pollution, mais peu d'effets sur le réchauffement climatique à long terme.
Depuis l'Antiquité, l'Histoire a été ponctuée de grandes épidémies, avec des conséquences dramatiques. Mais elles sont également à l'origine d'avancées en matière de santé ou de coopération internationale.
Pour les collapsologues, la crise du coronavirus marque la fin d'une époque, celle de la mondialisation, de la libéralisation des échanges, des déplacements de marchandises et de populations à travers la planète.
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !