L’Université de Neuchâtel a développé une méthode passant par une bactérie pour éviter la rouille sur des vestiges archéologiques en fer.
Pour analyser les prédispositions génétiques à certaines maladies, il faut comparer des milliers de génomes humains entre eux. Ces quantités de données demandent des efforts de calcul énormes qui coûtent très cher. Une équipe de lʹInstitut suisse de bio-informatique et de lʹUniversité de Lausanne vient de développer un logiciel pour faire ces analyses à moindre coût.
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
Quarante-cinq laboratoires sʹallient pour partager leurs données concernant lʹoptogénétique. Ce domaine de recherche utilise la lumière pour activer ou désactiver des neurones dans le cerveau. En partageant les résultats positifs et négatifs, les chercheurs souhaitent développer cette méthode encore expérimentale.
On peut héberger dans son tube digestif des bactéries résistantes aux antibiotiques sans le savoir. Des personnalités politiques et médiatiques ont accepté de faire analyser leur caca.
Découverte des compétences fermières des champignons. Les morilles, notamment, cultivent des bactéries pour assurer leur subsistance.
C'est sous lʹeau que les épaves de bateaux en bois se conservent le mieux. Une fois sorties de leur élément pour être observées, elles se détériorent rapidement. Des chercheurs de lʹUniversité de Neuchâtel ont trouvé la parade en alliant des bactéries aux traitements chimiques habituels.
Patrick Michel, médecin-chef du Centre cérébrovasculaire du Centre hospitalier universitaire vaudois est spécialiste des accidents vasculaires cérébraux (AVC), une affection qui frappe une personne toutes les trente minutes en Suisse, avec le plus souvent des séquelles importantes.
De nouvelles données concernant le Covid-19 en cas de grossesse sont inquiétantes. Une femme enceinte infectée par le coronavirus a deux à trois fois plus de risques de se retrouver aux soins intensifs. Un risque encore plus élevé pour celles qui présentent dʹautres critères de morbidité, comme lʹobésité ou lʹhypertension.
Petits meurtres entre amis, disparitions mystérieuses, sévices inimaginables, animaux difformes, vraies légendes urbaines ou phénomènes naturels étranges...Notre curiosité est attisée par ce court-circuit du quotidien qu'est le fait divers. Quelle est cette part d'ombre qui semble nous habiter toutes et tous? Comment raconter dignement des histoires effrayantes ou sordides?
Yannick Cornelius pratique lʹostéopathie depuis plus de vingt ans. Durant plusieurs années cet ostéopathe confirmé de Bulle était reconnu par quasiment toutes les assurances complémentaires. Pourtant, un jour, il en a eu marre des contraintes liées à cette reconnaissance et a décidé de sʹen départir. En fin de compte, quʹest-ce que cela change pour les patients? Une fois la reconnaissance des assurances acquise, quʹest-ce que cela implique pour lʹassuré?
Débat entre Denise Efionayi-Mäder, directrice adjointe du Forum suisse pour l’étude des migrations et de la population à l’Université de Neuchâtel, Albina Kurtisi, membre de la Voix de la diversité, et Mohamed Hamdaoui député PDC au Parlement bernois.
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