Selon l'Office fédéral de la statistique, 55% de la population suisse est adepte des jeux vidéo.
Astrologie: les applications et sites spécialisés rencontrent un succès grandissant, notamment auprès des jeunes.
Durant la première vague, la sociologue à l'Université de Lausanne Laurence Kaufmann a lancé un projet pour que les émotions liées à la crise sanitaire puissent s'épancher et trouver une place. Son nom: Co-vies20, un blog qui permet à tout un chacun de publier des textes évoquant la manière dont on vit avec la pandémie et comment on s'y adapte.
Débat entre Ophélie Schneider, psychologue du sport, Bénédicte Lasserre, physiothérapeute et ancienne gymnaste à Macolin, Nicolas Conne, responsable Sport Elite à l’Association Cantonale Vaudoise de Gymnastique, et Grégory Quin, historien du sport à l'Université de Lausanne.
Daphné Bavelier, professeure au Laboratoire cerveau et apprentissage à la Faculté de psychologie et des sciences de lʹéducation de lʹUniversité de Genève est une passionnée de plasticité cérébrale. Selon elle, les jeux vidéo n'ont pas que des impacts négatifs sur notre cerveau.
Les jeux vidéos d’action entraînent une amélioration des capacités cognitives des joueurs, relèvent deux méta-analyses dirigées par l'Université de Genève.
Les nouvelles technologies appliquées à lʹhumain permettent de soigner et de restaurer des capacités physiques ou psychologiques, mais que se passerait-il si elles permettaient dʹaméliorer les performances de personnes en bonne santé?
Cela fait 6 mois que l'application SwissCovid a été lancée. L'ambition était grande. Elle devait devenir un outil centraldans l'amélioration du traçage des contacts en cas de Covid-19. Mais aujourd'hui, le nombre des utilisateurs neprogresse plus.
La campagne de vaccination contre le coronavirus doit commencer le mois prochain.
"La mort nʹest que le début… de lʹenquête du médecin légiste", cʹest le titre dʹun livre qui vient de sortir. Cet ouvrage revient sur les pratiques réelles de la médecine légale, en profond contraste avec les représentations très hollywoodiennes des séries TV.
Une étude de l'Université de Genève tord le cou à un cliché: les applications de rencontres ne détruisent pas l'amour. Les couples formés grâce au numérique ont des intentions d'engagement tout aussi fortes que les autres.
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !