L’inversion des températures en présence de brouillard ou les poussières sahariennes favorisent la présence de particules fines dans l’air. Leur haute concentration peut aggraver les conséquences de la maladie COVID-19.
En 2020, la recherche ne s'est pas limitée au domaine du coronavirus. Rétrospective de quelques bonnes nouvelles du monde scientifique et médical. Où il est question de piqûres de moustiques, de nodules thyroïdiens, des yeux des mouches, du plus petit possum d'Australie, du lynx, d'un monde sans pollution, de phosphore et de la conjonction de Saturne et de Jupiter.
Il y a cinq ans, la communauté internationale s’engageait à contenir le réchauffement climatique en dessous de 2 degrés dans le cadre du très attendu Accord de Paris sur le climat. Mais qu'en reste-t-il aujourd’hui?
Des oiseaux qui chantent en ville, les eaux de la lagune de Venise à nouveau claire, un ciel dépollué: la Nature semble profiter de la mise en veille de l'être humain, du ralentissement de l'économie en cette période de confinement. Est-ce une aubaine pour les activistes du climat? La crise va-t-elle permettre une prise de conscience à large échelle de l'urgence climatique? Un plan de relance économique plus "vert"?
Après la crise, on devrait revenir à une croissance forte basée sur l'exploitation des ressources naturelles. C'est du moins la crainte de Sophie Swaton, philosophe et économiste à l’Institut des géosciences et de l’environnement de l’UNIL, qui propose un revenu de transition écologique pour accélérer la transformation de l’économie en faveur de l’environnement.
Un ferry électrique au Danemark, de la géothermie en Islande et un collapsologue français. Trois Youtubeurs suisses ont parcouru l’Europe à la recherche d’initiatives écologiques. Mais que valent-elles vraiment ? Eclairage avec Sophie Swaton, philosophe, économiste et experte du premier épisode d’On a marché sur la Terre.
Le dossier (controversé) de la collaspologie, et plus largement du récit et du rôle de lʹimaginaire dans notre manière de nous projeter dans le futur. Comment ce récit influence nos actes et donc, in fine, le futur lui-même?
Croître et prospérer infiniment dans un monde limité, voilà le paradoxe de la civilisation thermo-industrielle. Le réchauffement climatique s'accélère, la biodiversité et les sols se détériorent sous nos yeux, les ressources fossiles s'épuisent. Nous qui voulions nous affranchir à jamais des contraintes environnementales, nous nous sentons à nouveau menacés.
Noël, ses sapins, ses lumières, ses repas, ses cadeaux et son Covid-19 à éviter. Quels effets ce contexte risque-t-il dʹavoir sur nos relations déjà souvent sous tension durant cette fête familiale? Comment éviter le pire et sauver malgré tout la convivialité?
"Restez chez vous !": la consigne est de nouveau dʹactualité en cette deuxième vague de coronavirus et de retour au (semi) confinement. Nos maisons, appartements sont à nouveau nos lieux principaux de vie, de travail, de loisirs. Des intérieurs comme des bulles de protection face à la pandémie. Comment vivons-nous ces intérieurs "refuge"? Quel impact sur le design, lʹaménagement de nos habitats? La "coronamaison" va -t-elle laisser des traces durables dans la conception du logement, une fois la crise terminée?
Lassitude, coup de blues, anxiétés, difficultés à se projeter: des syndromes apparus chez beaucoup dʹentre nous depuis lʹarrivée du coronavirus. Lʹépidémie qui nʹaffecte pas seulement notre santé, mais aussi notre foi en lʹavenir. La crise sanitaire et son lot dʹincertitudes, dʹangoisses, nous font douter. Et si le remède se trouvait dans la spiritualité?
Pour analyser les prédispositions génétiques à certaines maladies, il faut comparer des milliers de génomes humains entre eux. Ces quantités de données demandent des efforts de calcul énormes qui coûtent très cher. Une équipe de lʹInstitut suisse de bio-informatique et de lʹUniversité de Lausanne vient de développer un logiciel pour faire ces analyses à moindre coût.
Patrick Michel, médecin-chef du Centre cérébrovasculaire du Centre hospitalier universitaire vaudois est spécialiste des accidents vasculaires cérébraux (AVC), une affection qui frappe une personne toutes les trente minutes en Suisse, avec le plus souvent des séquelles importantes.
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !