2021 sera-t-elle lʹannée de la sortie de la crise du coronavirus? Tous les espoirs se fondent en tout cas sur la venue des vaccins, qui, pour le moment, arrivent au compte-goutte. Mais le vaccin sera-t-il suffisant? Combien de temps sera-t-il efficace? Un rappel est-il nécessaire? Quels en seront les effets secondaires? Et comment y avoir accès?
Le variant britannique du coronavirus pourrait devenir majoritaire en Suisse dès février. Et il pourrait être responsable de la quasi-totalité des infections d'ici avril-mai, selon les projections de la task force scientifique.
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
Les enfants et les adultes seraient pareillement touchés par le coronavirus. C'est le résultat d'une large étude menée sur les anticorps de 2'0500 élèves zurichois. En outre, le virus est plus susceptible d'être transmis dans la sphère privée quʹà l'école.
Les enfants infectés par le SARS-CoV-2 ont une charge virale aussi importante que les adultes mais sont de plus faibles vecteurs de transmission du virus. C'est le résultat d'une étude menée par des chercheurs et médecins genevois.
Comment la lutte contre le coronavirus s’organise-t-elle dans les hôpitaux suisses romands, mais aussi dans les laboratoires qui planchent sur un médicament ou un vaccin ? Comment faire face aux coûts économiques et sociaux colossaux engendrés par les mesures de confinement ? Comment réinventer notre société en temps de crise ?
Après la validation du vaccin de Moderna par Swissmedic, Blaise Genton, médecin-chef à Unisanté et responsable médical de la campagne de vaccination dans le canton de Vaud, se réjoui, de cette nouvelle étape franchie.
Les réactions sont très vives après la visite de René Fasel en Biélorussie. Le Fribourgeois, patron de la Fédération internationale de hockey, a été très chaleureusement accueilli par le président Alexandre Loukachenko.
Débat entre Michel Oris, professeur à l’Université de Genève pour le regard sur les chiffres et leur interprétation, Eve Rubli Truchard, médecin associée au service de gériatrie du CHUV et co-directrice à la chaire de soins palliatifs gériatriques, et Alix Noble, thanatologue spécialiste de la mort qui offre un soutien aux familles en deuil.
Les vaccinations sont plébiscitées en Suisse mais elles pourraient inciter la population à être moins prudente.
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