Le soleil, ou plutôt la lumière qu’il dispense, nous met de bonne humeur: elle rend les êtres plus expansifs, plus euphoriques, plus énergiques, car elle bloque la synthèse d’une hormone particulière, la mélatonine.
Les dernières statistiques viennent de lʹindiquer: la première cause de mortalité chez les jeunes suisses de 15 à 29 ans est, à nouveau, le suicide. Par ailleurs, chaque année la Suisse figure en tête dans le classement des pays les plus heureux du monde (5e en 2018). Comment résoudre cette contradiction?
La population suisse est globalement heureuse. Elle ne doute même pas du sens de lʹexistence, selon une étude du Fonds national suisse. Alors pourquoi tant dʹouvrages sur la quête du bonheur personnel ? Pourquoi cette sensation que le voisin est toujours plus heureux que soi ne nous quitte pas ?
Les actes terroristes comme les attentats de Paris ont changé notre manière d'envisager notre fin de vie. Alexandrine Schniewind, professeure de philosophie arrive à cette conclusion dans un ouvrage qu'elle vient de publier intitulé simplement: "La mort".
Quelles cultures les enfants produisent-ils avant d'intégrer l'âge adulte? Leurs activités peuvent-elles féconder en retour leurs familles, quartiers, ethnies, cités, nations...?