Alors que la Suisse s’apprête à encaisser un immense choc économique dû au confinement, les questions critiques sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités politiques et l’administration commencent à émerger. Bien sûr, le bilan final plaide en faveur du Conseil fédéral, qui a évité au système de santé d’être submergé.
Le 25 février 2020, premier malade du Covid-19 est déclaré au Tessin. Depuis, tout s'est passé si vite qu'on peine à réaliser les étapes qui nous ont conduits à cette situation exceptionnelle de quasi-confinement.
Alors que la pandémie mondiale frappe la Suisse entière, le Tessin et la Suisse romande plus durement, nos voisins suisses-alémaniques semblent plus sereins. Le nombre de cas est inférieur à Lausanne ou Genève et si les Romands et les Tessinois estiment que le Conseil fédéral a été trop lent, les Suisses-Alémaniques sont moins nombreux à le penser. Il faut dire que la vague n’a pas encore atteint tout le pays de la même manière. Alors, comment vit-on la crise Outre-Sarine ?
Alors que l’Europe et la Suisse affrontent le coronavirus, les questions se posent sur la lenteur des autorités et l’impréparation face à la pandémie, dont le pic n’est pas encore atteint. Les questions fusent : pourquoi ne s’est-on pas mieux préparé ? Singapour par exemple, qui ne compte aucun décès jusqu’à aujourd’hui, pourtant proche de la Chine, comme Taïwan ou Hong Kong, a réagi aux premiers jours de la maladie. Ce pays de 5,6 millions d’habitants nous interroge sur nos propres lacunes.
Alors qu’en France le système de santé est en crise profonde, le climat n’est pas tout rose chez nous, en particulier au sein du personnel infirmier. Les infirmières et infirmiers sont près de 46 pour cent à abandonner le métier avant l’âge de la retraite. Un chiffre qui donne la mesure d’un vrai malaise. Agnès, Carmen, Jérôme, Anita, Luisa et les autres, saisis sur le terrain, témoignent à cœur ouvert de leur engagement et de leurs inquiétudes pour l’avenir de la profession.
Dans le monde entier, les évangéliques sont déjà plus de 600 millions. En Suisse, ils ont gagné des dizaines de milliers de fidèles, alors que d’autres églises se vident.
En Suisse dès 75 ans, tous les conducteurs automobiles doivent passer une visite médicale pour confirmer leur aptitude à la conduite. Une visite médicale obligatoire, parfois mal vécue; perte de liberté, perte d’autonomie, perte de l’estime de soi, la perte du permis de conduire est pour certains synonyme du début de la fin.
Notes de frais abusives, petits avantages entre amis, les temps sont à la suspicion publique à l’égard des politiciens élus. Comment fonctionne notre parlement fédéral dit de milice ? Combien nos élus gagnent-ils ? Combien de temps consacrent-ils à leur mandat ? Et qu’en est-il de leurs revenus annexes ?
Vivre mieux, en meilleure santé, plus longtemps, voire éternellement... C’est ce que nous promettent aujourd’hui la science et la technologie. Des paraplégiques se remettent à marcher grâce à une combinaison robotisée, l’exosquelette. Google a débauché les meilleurs chercheurs pour en finir avec les maladies liées au vieillissement et rêve du médicament qui nous rendra immortels. Et la médecine anti-âge a le vent en poupe.
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !