Alors que les pressions s'accentuent, en Suisse comme ailleurs, pour sortir du confinement dans le cadre de la crise du Covid-19, les spécialistes le répètent haut et fort: il est trop tôt pour assouplir les mesures mises en place.
Prélever des anticorps chez les patients guéris du Covid-19 et les administrer à des patients encore malades pour les aider à combattre le virus, c'est l'idée de l'essai clinique Coviplasm qui démarre en France.
Le creux des vieux arbres abritent toute une myriade dʹespèces, du plus petit insecte à toute la famille de pic noir. Ces dendro-microhabitats, de leur nom scientifique, sont de précieux squats végétaux à préserver.
Avec 20% en moins de cas d'AVC et 30% en moins de cas d'infarctus, les spécialistes veulent à tout prix éviter une surmortalité, en rappelant encore et encore que les urgences ne sont pas surchargées et que les malades du coronavirus sont strictement isolés des autres pathologies.
Les symptômes des allergies peuvent ressembler à ceux du coronavirus et entraîner de nombreuses interrogations.
Dans une situation exceptionnelle, le droit d'urgence régit le fonctionnement de l'Etat.
Débat entre Antoine Flahault, directeur de l'Institut de santé globale de l'Université de Genève, Didier Trono, responsable du groupe diagnostic et testing au sein de la task force scientifique dédiée au coronavirus, et Rebecca Ruiz, conseillère d'Etat vaudoise.
Une estimation est pour la première fois lâchée sur le nombre de masques qui seraient nécessaires au moment de la sortie des mesures de confinement en Suisse. Selon le professeur Didier Pittet, il faudrait 2,5 millions de masques chaque jour pour toutes les catégories concernées.
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